ÉCOLE DJEDI
Impressions personnelles sur le COURS donné le samedi 28 juillet 2001 par Richard Glenn, ésotériste
Écrit par Piranha -Julie- et revue par Kiwan.

VERS LES SOMMETS

Bonjour à tous,

Il y a quelqu'un de très compétent qui fait les résumés des cours de Richard, mais, je ne puis m'empêcher de donner mes impressions sur les cours, surtout qu'Aleph était absent cette semaine.

PREMIÈRE PARTIE
Richard nous a montré quelques prises de vue en video de ses voyages en compagnie de Line, dans le grand Québec.  Évidemment, pour correspondre au sens de nos rencontres, il devait faire le lien avec l'ésotérisme dans ses expéditions. 

S'ÉLEVER 

 Pour s'élever dans la Nature, il faut d'abord décider de monter au sommet d'une montagne. Demeurer en bas c'est d'accepter de vivre avec des horizons très limités. Connaître la Réalité à partir de différents point de vue développe l'humilité. La plupart de ceux qui sont allés au sommet de leur montagne, reviennent transformés, même si après, ils demeurent en bas pour le reste de leur vie. Choisir la voie la plus facile ou la plus escarpée; tout cela a-t-il un sens ésotérique ? Oui. Richard nous l'a clairement démontré à l'aide de ses prises de vue faites au Mont Tremblant dans les Laurentides, au Mont Mégantic et au Mont Orford dans les Cantons de l'Est et au Mont Ste-Anne dans la région de Québec. 

Combien cela prendra-t-il de temps ou/et d'argent ? Voici résumé sur ce TABLEAU, 
le sens ésotérique de  LA MONTÉE AU SOMMET  ... physiquement et spirituellement !!!

À chacun son choix de vie. Libre de choisir sa montagne, son cheminement et sa manière d'y monter... prendre son temps. 
Le plus difficile c'est de se décider à prendre le temps de gravir "SA MONTAGNE".

Une fois rendu en haut, on a une vision plus globale du monde d'en bas. On le voit de haut. L'impression de futilité des choses humaines avec le sentiment de grandeur et de puissance d'être au dessus de tout. Les horizons n'ont plus la même signification non plus. Il nous semble important d'aller au loin, plus loin que ce que nos yeux peuvent voir à la limite du ciel et de la terre. Nait alors en soi, un nouveau défit à relever. Mais pour y parvenir, il faut accepter de redescendre en bas de "sa montagne". Au couché du soleil l'éclairage donne un relief très nouveau à l'horizon. On découvre alors que sa VISION d'une chose dépend de notre manière de regarder la réalité sous différents éclairages et dans différentes circonstances. . 

Le lendemain, nos deux amis étaient fatigués après leur escalade du Mont Orford à pied ! Heureusement des mini-bus les ont conduit au sommet du Mont Mégantic. Cette fois la quête était différente. "Toucher le ciel" avec le télescope.

Principes du télescope : VISION La VISION qu'on a de quelque chose dépend toujours de son OUVERTURE d'esprit -diamètre du télescope-, puis de la qualité de sa RÉFLEXION et de sa CONCENTRATION

Ils sont allés à l'observatoire, les images du gros télescope étaient impressionnantes. Regarder les autres astres c'est très attirant. Le plus intéressant, d'après Richard, était en fait, juste en bas, dans une nouvelle bâtisse.

CONNAÎTRE LES LIMITES - physiques et intellectuelles et culturelles... comme ici

C'est la salle Velan de l'Astro-Lab ouverte seulement depuis quelques semaines. -depuis juillet 2001- 
Richard ajoute que depuis cette visite, il a repris définitivement confiance en l'avenir du monde. En effet, il ne tarit pas d'éloges envers les jeunes étudiants-guides et surtout à cause de ce que contient la Salle Velan. C'est une immense salle avec les systèmes multimédia les plus modernes dans laquelle sont exposées toutes les théories et études de pointe sur le développement de l'univers depuis son origine jusqu'à son avenir probable. C'est une salle unique au monde, payé à plus de 2,5 M $ par un multimillionnaire tchécoslovaque passionné d'astrophysique M. Velan. BRAVO au Centre du Mont Mégantic pour les performances exceptionnelles de vulgarisation des thèmes les plus difficiles en physique, astrophysique et astronomie et plus encore en COSMOLOGIE

Je trouve qu'il est important d'en parler parce que moi je vais y aller et je suis bien contente de voir que ça existe. Le Québec a semble-t-il l'ouverture d'esprit qu'il faut pour entendre ces informations parfois inédites. Même si M. Hubert Reeves, a donné son premier télescope, fabriqué à l'âge de 12 ans avec un tuyau de poêle, je crois qu'il devrait accepter cette salle. Il faudrait simplement avertir les visiteurs que les astrophysiciens ne sont pas tous d'accord avec les conclusions que M. Velan expose à la fin du parcours des 22 tableaux explicatifs. J'espère que l'Astro-Lab va résister aux plaintes de certaines personnes en comparaison de l'immense bienfait que cette salle peut apporter à l'ensemble de toute une population du Québec qui a droit de savoir. En tk.

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Richard, me perd un peu quand il dit qu'au cours de son périple il a rencontré, des extra-terrestres! 
En fait il s'agit d'êtres humains un peu spéciaux. Ce sont plutôt des terrestres extra :-))

Richard lui a parlé de nos rencontres du samedi soir,  chez lui à Mont St-Hilaire  Suzanne sera des nôtres lors  de notre rencontre du samedi 25 août qui sera aussi  l'ÉPLUCHETTE DE BLÉ D'INDE annuelle Bienvenue à tous.

D'abord, c'est une femme sociologue, diplômée des plus grandes écoles qui enseigne dans la région de Sherbrooke. Elle travaille comme consultante pour le gouvernement du Québec dans le cadre des courants d'idées que doivent suivre les dirigeants face aux nouvelles tendances. Suzanne vit seule avec sa fillette, Olivia, en pleine forêt dans un vrai tipi -tente des indiens-. Et l'hiver aussi. Mais ce n'est pas une déconnectée de la réalité, bien au contraire. Selon Richard et Line, Suzanne connaît tout de tout ce qui nous intéresse ici à Ésotérisme Expérimental. Elle a pourtant fait une démarche complètement DIFFÉRENTE de la nôtre. En fait c'est ça qui est important. Elle ne connaissait pas pantoute Richard Glenn, et semblait très avancée dans tous les domaines ésotériques. Elle a parcouru les quatre coins du monde, elle est allée au Népal, le Tibet étant fermé aux touristes. Richard lui a parlé de nos rencontres du samedi soir, chez lui et elle sera avec nous pour la rencontre du 25 août qui sera aussi l'ÉPLUCHETTE DE BLÉ D'INDE annuelle. Il dit qu'elle est très très spéciale et vaut le détour. Leur conversation s'est terminée tard, autour d'un feu de camp, sur le thème du TANTRISME. C'est tout vous dire ! Çà promet le SAMEDI 25 août prochain. 

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Sur le chemin du retour des Cantons de l'Est, Line et Richard s'arrêtent dans un "dépanneur" d'Eastman pour prendre leur petit café du matin. Ils ont eu l'impression d'arriver dans un autre monde. Vous savez des fois il y a de ces endroits étranges où rien n'est comme d'habitude. Il semble empreint d'une certaine magie. C'est le style de vie du "dépanneur" qui était frappant. Une jeune femme indique à Richard l'endroit où trois cafetières sont mis à la disposition de tout le monde. Les prix sont affichés sur le mûr: Gros $1.25, Petit $0.75, Tasse $0.50. Du jamais vu pour Richard qui a faillit échapper "sa tasse" qu'il avait apporté dans le restaurant, juste comme çà pour rire. Non, rien n'allait comme ailleurs. Des gens arrivaient avec leurs tasses et se servaient, sans payer, apparemment. On pouvait s'asseoir et lire le journal du matin, regarder la télé, deux télés, à deux postes différents. On peut se faire soi-même à déjeuner. Il y a même une poule, pas maternelle qui pond partout. Tu ramasse l'œuf que tu trouves et tu le cuits à ton goût sur la cuisinière ou le micro-ondes qui sont là à la disposition de tous. 

STATION O'KATAVENTURES

Un petit canard fait la pluie et le beau temps sur le comptoir. Deux chiens bergers allemand jappent parfois contre des motos. "Où sont-ils ? " demande Richard. "Sur le toit" de répondre une voix inconnue.  On peut y louer des kayaks, même en hiver, et partir sur l'eau juste ici en arrière du resto. On peut même vous conduire à plus de 6 km. en amont pour vous permettre de descendre des petits rapides en famille.  Les gens sont faciles d'approche, on dirait que tout le monde se connaît depuis toujours... les vieux, les jeunes et même les enfants.

C'est pas tout, Un monsieur, barbu et pausé s'approche de Richard. En lui serrant la main il lui dit: "Pis, tu me reconnais pas ? Çà doit faire plus de 15 ans qu'on s'est vu... aux conférences de Bernard de Mtl. Depuis ce temps là, je vis par ici. C'est ici le paradis" Richard en a eu un frisson dans le dos, tant ces paroles lui semblaient véridiques, pas à peu près. Lorsque Richard lui a appris qu'il avait un site sur Internet, l'homme l'a dirigé immédiatement dans un autre coin du restaurant où deux ordinateurs sont disponibles gratuitement pour aller surfer sur le Net. Il y a un esprit de confiance totale qui règne. C'est ça qui est important. Les gens y sont bien entre eux et en eux-mêmes, çà paraît. C'est l'harmonie la plus totale. À la fin, avant de partir, tu payes. Tu dis: j'ai pris telle ou telle chose, tu payes et tu pars. Mais jamais on ne te courra après pour te faire payer. Ils te font confiance. Tout le monde rigolait à cause du canard qui mangeait la toast, on l'a tous vu sur le video que Richard a pris de cet endroit inoubliable. L'essentiel ici, c'est de constater le fait qu'il y a des gens qui forment des petites communautés, en dedans de notre système (capitaliste) et qui arrivent à bien vivre en harmonie avec une autre manière de faire. Si le monde entier vivait ainsi, en harmonie, comme dans ce "dépanneur" je crois que nous serions tous au Paradis ! Non? J'ai confiance que tout cela n'est qu'un début... ici au Québec.

On est bien ici. Je me permets de faire un parallèle avec là où je vis dans les Laurentides. Au village de Val-David, c'est exactement comme ça. Confiance, harmonie, et très magique. C'est drôle, on dirait que quand on recule des villes, tout devient diffèrent. Richard disait être allé au Mont-Tremblant, et il n'a pas vu du tout cet esprit qu'il a vu dans les Cantons-de-l'Est. Mais Richard, Mont-Tremblant, c'est FULL commercial, fallait pas aller là. Même moi je déteste tsé! Je rencontre des êtres vraiment en harmonie et centrés avec leur être intérieur, pas déphasés, comme moi je pense que je suis déphasée.

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La DEUXIÈME PARTIE très ésotérique était difficile pour moi un peu. 

Le thème:
Si un extraterrestre venait dans une de nos rencontres du samedi soir, comment pourrions-nous l'identifier.

Quelqu'un a comparé les consciences humaines aux consciences des gorilles, par rapport à celles des extraterrestres. Plus évoluées, moins évoluées ? "Différentes", a lancé un autre ! 

Donc qu'est-ce que "être évolué" ? On pataugeait dans un cercle vicieux et pourtant le raisonnement était nécessaire pour en venir à ce qui suit..

Richard voulait amener une discussion, un débat mais surtout une prise de conscience.

Alors Richard nous a révélé avoir un "plan de match" en trois étapes distinctes.

1- Comparons la conscience humaine à travers le temps. Est-ce qu'un homme d'aujourd'hui et un homme du passé -1931 par exemple- avec leurs contextes sociaux-culturels et leurs "paramètres" temporels réciproques font d'eux des êtres plus ou moins évolués ? 

Platon était "évolué" avec son mythe de la caverne, pourtant il vient du passé.

Par contre, l'extraterrestre qui est plus avancé en science que nous doit sans doute se taire, s'il est avec nous ce samedi soir. Exactement comme nous ferions si nous étions en 1931 avec tous les préjugés religieux de l'époque, les attitudes moralisatrices et les limites technologiques pour ne pas risquer de se faire dénoncer comme des révolutionnaires anarchiste. Ceci n'enlève rien à la conscience des gens de cette époque ancienne. Tout est question de milieu de référence. Milieu de vie, quoi ! 

2- Comparons notre existence, notre milieu de vie à un camp de concentration où nous sommes les esclaves, et il y a des gardiens qui mitraillent automatiquement les fugitifs, et parmi nous, des "stools" -traitres, délateurs- qui guettent ceux qui ont l'idée de s'enfuir. 

Mettons qu'un extraterrestre aurait la possibilité d'être là-dedans en observateur comme s'il avait été téléporté au beau milieu de cet univers là. Comment les autres pourraient-ils le détecter et comment agirait-il, lui, face aux autres? Il verrait clairement la situation: des prisonniers, des gardiens, des stools. Si il intervient il est responsable de ce qu'il déclenche. Surtout si les prisonniers ne le savent pas qu'ils sont prisonniers. Certains sont mêmes satisfaits de la vie qu'ils mènent sans réaliser leur situation limite. S'il ose leur révéler tout celà, ils refuseront de reconnaître cette réalité et le pourchasseront sans doute jusqu'à ce qu'il se taise. Donc, encore une fois, cet extraterrestre, ne peux pas intervenir. Pas plus sur la place publique qu'avec nous, du petit groupe du samedi soir 

Mais s'il veut leur venir en aide,  il doit leur proposer une solution sans se faire remarquer. Mais comment ?

3- L'extraterrestre qui comprend notre situation peut faire parvenir l'information indirectement à ceux qui cherchent à aller plus loin dans leur vision de la réalité. (Comme monter sur une montagne au milieu du camp!) La solution pourrait de laisser à la portée de tous, un manuel décrivant la condition existentielle de tous et chacun dans le camps, ainsi que la manière d'en sortir sans éveiller la suspicion des stools. 

Laisser "traîner" un livre avec description d'une catapulte humaine. Prendre un madrier, demander à deux amis de sauter sur un bout pendant que celui qui veut sortir du camps, se place à l'autre extrémité.  Quoi de plus simple et efficace ?  
Voyez vous un peu le parallèle avec certains livres sacrés qui nous enseignent la vie éternelle, libre du temps et de l'espace.

Richard nous a expliqué qu'ils avaient un corps matériel, et que c'est par projection de leur conscience, de leur monde au nôtre, qu'ils parvenaient à communiquer avec nous, et à parler à Richard.

Nous en étions donc là : Si on avait le mode d'emploi pour "sortir" de notre merde, sortirions nous? En parlerions nous? Parleraient-on aux autres de notre découverte? Et qui nous suivraient. Une fois de l'autre côté, est-ce qu'on reviendrait dire aux autres de quoi il retourne? (mythe de la caverne, continuel questionnement)

Je détestais la situation car il me semblait que c'était très clair. Mais personne ne voulait m'écouter,,, même pas Richard (j'ai dû dire quelque chose qu'il l'a dérangé.. ) Richard nous avait emprisonné dans une conversation, je voyais bien ce qu'il faisait. J'ai décidé d'en sortir et je suis partie avant la conclusion. Il était 1h du matin.

Les uns disaient, en attendant, on fait comme si rien était, on joue le jeu, on essaie d'être bien, jusqu'à ce qu'on s'en sorte.

Les extra-terrestres ne sont pas supérieurs, leur conscience est différente, les anges et les héloims sont supérieurs, leur conscience est plus haute que la nôtre (comme rendu en haut de la montagne)

Je ne peux pas raconter la vraie conclusion de la soirée car je suis partie avant la fin. Mais l'impression générale que je voyais c'est que dans cette discussion nous étions divisés, et que dans une fausse impression d'avancer, "ils" tournaient autour du pot et ils étaient ballottés d'une idée à l'autre jusqu'à ce que RICHARD leur dise où aller dans la conversation.

C'est fort comme description, mais c'est juste l'impression que j'en ai eu. Vu que je ne pouvais pas entrer dans le cercle de conversation, je m'en suis détachée et j'ai tiré ma propre conclusion qui est celle-ci.

(tant qu'à écrire écrivons)

La solution à nos problèmes, n'est pas extérieure à nous, elle est intérieure. Les prisonniers se voient prisonniers parce qu'ils le veulent bien. Richard venait tout juste de nous donner la réponse dans la première partie. à l'intérieur du système, il y en a qui vivent bien dans un autre système. À L'INTÉRIEUR. c'est notre perception intérieure. Connais-toi toi même. Je ne sais pas s'ils ont compris ça. Mais me semble que ça a du sens.

J'ai une QUESTION!!!!!!

Pourquoi est-ce que c'est juste Richard qui peut voir des extraterrestres?????

De la manière dont il parle, ils ne les voient pas matériels, ils sont comme des amis imaginaires réels qui lui parlent et l'informent.

Dans ce cas là, je pourrais dire que les deux personnes qui me parlent depuis que je suis toute petite sont des extraterrestres! Pourquoi pas ?

Bon ça y est ! J'ai fini, c'est tout, à bientôt!

Piranha  (Julie)

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Bonjour Piranha,
j'ai bien aimé lire ton court RÉSUMÉ du cours de samedi dernier.

Malheureusement, tu étais déjà partie avant la fin de la réunion.

Le thème était en rapport avec les extraterrestres qui devraient selon les uns et les autres, venir un bon samedi soir, autour du feu de camps, discuter et échanger avec nous autres.

Après les échanges musclés, les extraterrestres sont donc comme nous, dans un autre ESPACE/TEMPS donc avec une autre CONSCIENCE, simplement...

Et alors, j'ai fait remarqué la présence parmi nous, d'un personnage inconnu de tous... même de Gilles notre archiviste qui connaît et reconnaîtrait quiconque a déjà participé à l'une ou l'autre de nos émissions de télévision...
mais cette fois ! non !
personne ne connaissait ce monsieur d'un âge probablement entre 35 et 45 ans, silencieux et retiré, seul au milieu de nous. ADRIEN.
Et si il était un extraterrestre ?
Qui s'est posé la question ?
Il nous a tous écouté sagement sans mot dire.
Simplement un perpétuel sourire énigmatique illuminant son beau visage, propre et raffiné. Qui était-il ?

Ce fut un choc suivit d'un grand moment de silence lorsque Richard l'a fait remarqué à tous. OUI, qui est-il ?

Et un extraterrestre, parmi nous aurait-il agit différemment ?
Imaginez-vous, de l'an 2000, assister, autour d'un feu de camp, à une réunion de gens en l'an 1931... comment réagiriez-vous en fait ?
Probablement comme Adrien, n'est ce pas prudent et sage ?

C'est ainsi que ces êtres extraterrestres sont parmi nous !
Et c'est mieux ainsi, n'est-ce pas, tant pour nous, que pour eux-mêmes en fait !

SHALOM

QUE LA FORCE SOIT AVEC VOUS

KIWAN

PS - Comme dans un match de baseball, la partie n'est pas terminée tant qiue la dernière balle n'est pas lancée.
La prochaine fois, Piranha, il faut rester jusqu'à la fin... pour comprendre le sens d'une rencontre "ésotérique"...
à suivre.
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Lors de nos rencontres-jardin, autour du feu de camps, l'objectif n'est pas de remplir la tête des gens avec une conférence magistrale, mais bien au contraire, de donner la chance à chacun de s'exprimer sur un ou plusieurs thèmes chaque samedi soir.
En respectant le rythme de tous et chacun, je ne peux réduire les débats par obligation de se limiter dans le temps.
Être CRÉATIF suppose être LIBRE du temps.

Cest ainsi que samedi soir dernier, le débat sur "La présence d'un extraterrestre parmi nous" aura pris plus de temps que prévu, mais c'était nécessaire de prendre tout ce temps (terminer vers 1h30 a.m.) puisque beaucoup d'impressions jaillissaient de part et d'autres.

Effectivement, tu semble avoir saisi l'essentiel en moins de deux, mais ce n'était pas le due de tous.
Pour certains, un extraterrestre est supérieur à nous, non seulement technologiquement, mais en conscience et en intelligence... ce qui n'est pas nécessairement le fait. Un humain d'aujourd'hui est-il plus qu'un humain de 1931 ? etc. etc. etc.

Lorsque j'ai lancé la réflexion que ADRIEN avait eu exactement le comportement qu'un extraterrestre aurait eu si, pour une fois, il venait parmi nous un samedi soir, autour du feu de camps, c'était en rapport direct avec les conclusions et les réflexions que tous et chacun avaient tirés d'un commun accord. Conclusion que tu n'a pas entendu puisque tu étais déjà partie, par obligation... je ne t'en fais pas le reproche ici. Je t'informe que Adrien a par la suite parlé beaucoup devant tout le monde, toujours un peu gêné, mais heureux d'être là et d'avoir pu servir d'amorce à une RÉFLEXION TRÈS ORIGINALE sur ses origines... la Transylvanie !

Il ne faut pas croire que nous avons trompé le monde en voulant le faire passer pour un extraterrestre. Mais, il y a de ces êtres parmi nous qui ont aussi peu de différences avec nous qu'un transylvanien. Voilà :-)

PS - Le HASARD a bien fait les choses, car lors de la même conférence, donnée à Québec, une personne inconnuE de tous était présente et a acceptée de jouer le rôle de l'extraterrestre parmi nous ! Merci aux deux.

QUE LA FORCE SOIT AVEC TOI

KIWAN

 

 

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